Ils sont nombreux.
Sans pitié.
Glissements d’épaules, grognements, feinte des lacets, histoire qu’ils m’oublient.
La dame apparaît, l’étau se resserre.
Vite, libérez-moi!
Elle fait voler la porte, se réfugie sous l’escalier. Laissant passer une horde échevelée.
Je les sens derrière moi. L’une essaie la gauche, je me rabats. L’autre essaie le deuxième escalier, mauvais choix!
Gagné!
Elle se lève du banc, petit pas de danse, fière de sa mère. Encore première.